l’art de se faire mal en se faisant du bien

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Le monde du BDSM fascine autant qu’il interroge… Pourquoi souffrir, ou faire souffrir, alors que la sexualité est normalement destinée au plaisir ? La domination au lit est pourtant bien plus courante qu’on ne le croit ! Et s’il y a une chose qui peut regrouper tous les domaines du BDSM, c’est bien la punition, sous quelque forme qu’elle soit. Penchons-nous ensemble sur les raisons de cette pratique et à qui elle s’adresse, avant de découvrir toutes les facettes de la punition BDSM.

Punition BDSM : pourquoi et pour qui ?

Faites-vous partie des personnes qui imaginent les adeptes de BDSM en costume de latex, munis de fouets ou contraints par des liens ? Si oui, n’hésitez pas à découvrir les bases avec nos pratiques BDSM les plus connues ! Vous y apprendrez notamment que n’importe quel acte BDSM se réalise uniquement entre adultes consentants, qui s’accordent une confiance mutuelle et qui ont convenu de certaines règles, dont les limites à ne pas dépasser.

Le meilleur moyen de s’initier aux punitions sadomasochistes est de s’inscrire sur un site de rencontre BDSM. Ils sont très nombreux. Dans la plupart des cas, ce sont des sites libertins, sur lesquels on retrouve toutes sortes de pratiquants aux tendances SM. Elles sont le plus souvent dévoilées dans leur profil. Voici les sites les plus populaires en France pour punir ou être puni.e.

Que procure une punition BDSM ?

Lorsque l’on est enfant et que notre parent (ou autre adulte responsable) nous punit, c’est toujours désagréable. En tant qu’adulte, la punition peut être certes un mauvais moment à passer, mais elle a une plus grande fin en soi : une véritable libération. Pour le punisseur comme pour le puni. La punition BDSM procure des bienfaits incomparables, car elle permet d’extérioriser quelque chose, que l’on ne peut soulager verbalement ou sexuellement.

Par exemple, une punition physique permet de repousser les limites de la souffrance que le corps peut endurer, pour un plaisir pendant le châtiment (pour certains), sinon une détente jouissive de tout le corps ensuite (pour tous). Mais une punition, psychologique ou corporelle, sert surtout à renforcer le lien entre la personne dominante et la personne dominéeDans tous les cas, l’un prend son pied en exerçant son autorité. pouvoir, l’autre jouit de se soumettre au contrôle total du premier. Ce sont des plaisirs bien différents de ceux éprouvés lors des relations sexuelles dites classiques, même si vous pouvez bien sûr les mélanger !

À qui s’adressent les punitions BDSM ?

La punition s’inscrit dans la Domination-Soumissionmais aussi dans le Sado-Masochisme pur et dur ainsi que dans le Esclavage-Discipline. Ainsi, toutes les catégories différentes de BDSM reprennent à leur manière le concept de châtiment, quel qu’il soit. Si la punition nécessite une petite tendance BDSM, elle n’est pas non plus obligatoire dans toutes les pratiques de ce type !

En fait, les punitions BDSM concerneront surtout les personnes qui aiment se trouver dans une relation de dominant(e) à dominé(e). Elles s’adressent à tous ceux qui portent un fantasme de soumission. Ceux qui veulent faire plaisir à leur partenaire d’une autre manière, qui cherchent à pimenter leur vie sexuelle ou leur vie quotidienne en général, ou qui ont tout simplement besoin de  » se défouler « . Encore une fois, ce type d’expiation nécessite impérativement que tous les participants communiquent correctement, afin d’être bel et bien sur la même longueur d’ondes…

Dans quel contexte punir ou être puni ?

Les punitions BDSM peuvent être de plusieurs natures, et s’appliquent donc à des situations différentes. Vous pouvez vous servir des punitions BDSM comme d’un jeu érotique, réalisé avant ou pendant l’…activité sexuelle (par exemple dans le cas d’une séance de fessées érotiques ou d’un entravement total durant l’acte). Mais est-ce réellement une action punitive, ou plutôt un moyen de s’exciter un peu plus en faisant l’amour… ?

Nous l’avons dit, les châtiments représentent le moyen d’expression de son pouvoir sur l’autre. Mais ce pouvoir, total ou partiel, s’apparente aussi bien à un contrôle des actes du soumis, qu’à un contrôle de ses paroles, de son attitude, de ses choix… La punition BDSM sera donc fortement employée dans un contexte d’apprentissage ou de correction du comportement. La personne dominante inflige la punition qui lui semble la plus appropriée en fonction de la faute commise par la personne dominée, dans le but qu’elle ne recommence plus. Les manquements au bon comportement de soumis seront différents selon le maître, mais il peut s’agir de provocation, d’insolence, de désobéissance, d’une offense, d’un retard, d’un oubli, d’une tenue inadaptée…

Comment punir son partenaire ?

Il existe une multitude de punitions différentes. Les seules limites sont votre créativité, et celles que vous fixez préalablement avec votre partenaire ! Les maîtresses dominatrices ne sont d’ailleurs jamais à court d’idées pour torturer ou discipliner leurs soumis… Voici les grandes catégories de punitions BDSM, avec quelques exemples. Précisons que pour être efficace, la punition doit toujours être justifiée par une faute, appropriée à la hauteur de cette faute et adaptée aux capacités de celui qui est puni. Soyez donc mesuré et constamment attentif aux sensations de l’autre !

Les châtiments corporels

C’est LA punition BDSM par excellence. La punition physique rassemble les impacts (fessées, gifles, coups) portés sur n’importe quelle zone du corps du soumis, avec n’importe quel objet ou partie du corps du dominateur, ainsi que tous les gestes douloureux ou inconfortables, le port d’accessoires contraignants, l’attachement ou l’entravement… Les actions possibles sont multiples, du mordillement à la flagellation, en passant par les brûlures avec la cire d’une bougie, l’étranglement (attention à ne pas aller trop loin !), le serrement d’une zone érogène avec une pince spéciale…

Bref, les châtiments corporels sont légion. Une personne soumise qui a fauté pourra se prendre une séance de fessées punitives, comme un certain nombre de coups de fouet. La sanction peut aussi être déterminée par le temps, comme l’imposition d’un accessoire de torture ou par exemple une certaine immobilité avec des membres attachés en mode bondage ou shibari durant une certaine durée. Nous ne le répèterons jamais assez, mais l’instauration d’un safeword (mot de sécurité) est primordiale, afin de stopper la punition BDSM immédiatement si c’est nécessaire !

Les insultes et humiliations

Ici, on est dans la punition verbale et psychologique. Certains dominés aiment clairement se faire rabaisser, manquer de respect voire même maltraiter psychologiquement. Il s’agit d’une autre forme de sanction, mais tout aussi efficace pour recadrer instantanément son esclave.

Les blessent peuvent être plus ou moins élaborées, mais le plus sûr reste toujours de ne pas punir sous le coup de la colère ou d’une réelle vengeance, afin de ne pas aller trop loin. Les humiliations, elles, peuvent concerner aussi bien le corps que la personne entière, en mêlant aspect mental et émotionnel au châtiment corporel. Cela peut aller du léchage au baisage de pieds, pour se faire pardonner, au véritable petplay (devoir se comporter comme un animal). Le puni peut devoir accomplir des actes humiliants en public (se balader nu ou avec des accessoires particuliers, par exemple) ou subir des choses dégradantes (messages notés sur le corps, soumission à une pratique peu appréciée, se faire cracher ou uriner dessus, être offert sexuellement à une ou plusieurs personnes…).

La frustration

Quel plus grand pouvoir que celui de contrôler sexuellement et/ou affectivement son partenaire ? La frustration s’apparente à une sorte de torture, basée sur la privation. La personne dominante retire à son/sa soumis(e) le droit de faire ou de posséder quelque chose, pendant le temps qu’elle juge nécessaire. La méthode de frustration employée peut être plus ou moins sévère.

Vous retrouverez ainsi le fameux déni d’orgasme, avec une coupure totale juste avant la jouissance, mais aussi la privation d’érection (au moyen d’une cage de chasteté), l’interdiction de se toucher ou de toucher l’autre, la privation de pénétration… Il y a également la frustration affective, comprenant par exemple l’ignorance ou indifférence totale du dominateur envers son soumis, l’absence de contact physique, l’interdiction de parler, la privation de sexe ou de baisers pour une durée déterminée, etc.

La discipline

Catégorie à part mais qui peut bien regrouper aussi toutes les autres, la discipline est l’illustration-même du pouvoir du dominant sur son dominé. Elle peut s’exercer physiquement, verbalement, affectivement et sexuellement. Ici, on voit plus la discipline dans le sens des ordres donnés, avec non pas un but d’humiliation mais une visée d’obéissance totale.

La personne soumise devra alors effectuer sa punition sous une forme particulière : copier des lignes, rester au coin, faire le ménage, attendre en silence enfermé dans une cage… Sa sanction peut aussi consister à faire plaisir à son maître. Par exemple en le servant, en pratiquant du sexe oral (même jusqu’à une gorge profonde pour corser le tout), en devant se retenir de jouir jusqu’à ce qu’on lui en donne la permission, etc. Avec la discipline, la règle est le respect de la volonté du dominant, avec un vrai asservissement.

Les soins

Après une séance ou une punition BDSM, il est important de veiller à ce que la personne dominée se porte bien, tant physiquement qu’émotionnellement. C’est le principe de l’postcure ! Même s’il ne s’agit  » que  » des soins prodigués après coup, c’est une catégorie entière dans l’univers BDSM, à ne jamais négliger.

Il peut ne s’agir que de quelques questions d’usage ( » Comment tu te sens ? « ) ou de petits mots tendres une fois la séance terminée. Mais le dominant peut consoler son soumis, émotionnellement et mentalement, de la manière de son choix. D’ailleurs, beaucoup n’hésitent pas à offrir des cadeaux ou à se montrer tendrement affectueux dans les jours qui suivent, afin de compenser les souffrances endurées au mieux ! Enfin, pensez également au soin des blessures physiques possible, par exemple en massant délicatement la zone douloureuse ou bien en appliquant du froid et/ou une crème sur les lésions.

Le système de récompense en BDSM

On dit que le dominé expie ainsi ses fautes, et apprend de ses erreurs. De ce fait, le punisseur doit s’assurer que le puni comprenne bien pourquoi il est sanctionné, et qu’il soit donc capable d’en tirer une leçon. Il n’y a pas de vengeance ou de  » méchanceté gratuite  » ! Il s’agit plutôt d’une sorte de séance de dressage, où l’on cherche à favoriser les bons comportements tout en effaçant les mauvais. C’est le principe d’un système de récompense-punition… Il n’est donc pas rare que des dominants remercient leurs soumis à leur juste valeur si ceux-ci ont une attitude jugée parfaite. De même, une récompense peut être attribuée après la punition, afin de féliciter le dominé pour l’accomplissement de sa tâche et/ou pour éviter une éventuelle détresse psychologique.

Pour en savoir plus vous pouvez visiter : https://avisjacquiemichelcontact.fr/

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